Témoignage et échanges, par Max Disbeaux
Même si on a aimé le rap, si on utilise les réseaux sociaux, on peut rapidement être débordé par les pratiques des jeunes sur ces deux registres. Ils n’aiment pas le « bon » rap, ils utilisent à mauvais escient les réseaux sociaux ou les images. Décider de plonger dans leurs pratiques malgré toutes nos résistances, c’est faire le pari de la fécondité de la posture du maître ignorant, engager une pédagogie inversée et croire à notre capacité à les accompagner. plus facile à théoriser qu’à pratiquer: l’exemple de Pose Ton flow.
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